De l’importance des autres, de faire des choses pour les autres, avec les autres, rester connecté.e.s, lié.e.s, poreux.ses.
Ce besoin de stimuli pour activer, d’énergie, de trouver là ou il y a de l’écho. Je suis friande de lien, quand je fais les choses que j’ai à faire, généralement, pointe derrière le lien social, les autres. Non, je fais les choses parce qu’il y a du lien social, parce que ça n’est pas que personnel, parce que je veux rester proche des choses. Et comment le faire si je ne peux pas en discuter, partager, montrer…? Je ne fais pas de manière solitaire, je cherche à me rendre disponible pour pouvoir partager, sentir cette émulsion, cet entrain.
J’utilise mes outils, à des fins extérieures, non personnelles.
La distance à laquelle on se trouve des autres est une préoccupation, les autres que soi, mais avec soi, les communautés, les ami.e.s, les familles etc…
Parce qu’au final que reste il de ce que l’on fait si on ne le fait pas ensemble pour pouvoir transmettre partager et se souvenir ?